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11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 20:30

 

 

charlie.jpg

 

Marathon prémonitoire du JDM tous déguisés en Charlie en ... 2004 (je crois que c'est ça, lors de ma première sortie JDM fin Septembre 2004, la moitié des coureurs étaient déguisés).

Autre ambiance Place de la République. Forte mobilisation du JDM, je ne citerai pas les participants de peur d'en oublier et vu notre don inné pour la CO, on ne s'est pas tous retrouvés...

Pour ceux qui n'ont pas pu venir, le départ s'apparentait à un sas de marathon de Paris, sauf qu'on n'a jamais franchi la ligne. Ambiance digne, amicale et calme. 3h plus tard, nous avons collectivement abandonné après avoir parcouru près de 50m ce qui doit être un record. Le maillot finisher, la remise des prix, ce sera pour une autre fois. Le RER au retour a permis de montrer l'ambiance des jours sombres (3 fois par semaine en gros) à ceux qui ont la chance de ne le prendre que le WE pour aller au resto.

 

Et maintenant, on en revient à cette ligne de départ qu'on veut "historique": on fait quoi ? Le nouveau jeu, compliqué, est de chercher les pas-Charlie. Il est sans doute moins drôle que l'original et réservé aux adultes.

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1 janvier 2014 3 01 /01 /janvier /2014 15:39

Je viens de profiter du nouvel an pour une petite balade en douce au Moulin d'Ors. Personne. Etonnant.

Voici donc la photo-preuve du pont mythique du JDM qui aurait même pu servir de base au nouveau logo du JDM, mais bon, c'est vrai que côté dynamisme et mouvement il y avait mieux. 

 

Ors.jpg

 

De mémoire de moi, c'est la première fois qu'on prend le pont sans membre du JDM dessus. Vous remarquerez qu'à force de s'arrêter pour montrer les glaciaires aux nouveaux, le sol a fini par s'affaisser et ça penche, c'est assez net.

 

Que nous souhaiter à tous ?... Gloire, Amour, Beauté, c'est la moindre de choses. Et des sorties synonymes de plaisir renouvelé et de convivialité.


Et vu que je tiens le clavier, voilà aussi quelques souhaits que j'exprime en LIVE, en rapport direct avec notre activité (je sens l'inquiétude poindre le bout de son nez ...)


- Une plus grande collaboration sur ce blog qui est le votre. Dites n'importe quoi,mais dites-le. Ca finit par être lassant de ne publier que les articles de JF et les miens.

- Un appel aux "anciens" : Gilles a fait remarquer qu'il manquait une rubrique à ce blog pour présenter le JDM. Sa vie, son oeuvre. A vos claviers, je prends vos contributions. Philippe, Dominique et Gilles vous êts particulièrement attendus.

- Des records pour tous : la Mil'Kil pour Super-Robert, des podiums dans toutes les catégories avec nos "anciens" et nos "nouveaux", le Raid de l'Archange pour moi si tout va bien.

-Un autre appel à contributions photos. Un album pour 2014 mis en ligne sur le blog au fur et à mesure des sorties et Cie. Je montrerai l'exemple avec les 2 photos d'Ors de ce matin.

- Une dernier appel à contribution pour les courses que vous faites. Sur le blog, vous commentez la rubrique des courses et j'enrichis le tableau au fur et à mesure. Ca évite de se retrouver sur une ligne de départ à 4 avec 4 voitures et ça peut donner des idées.


On se dépasse, on se dépense. Je viens de faire le bilan 2013 et ne vous donnerai pas mes km parcourus à pied ou à vélo. Juste 435.000 KCalories dépensées bêtement, qu'on peut compenser facilement en mangeant 109kg de nouilles. Moins si on met du beurre et qu'on boit du vin, heureusement.

Biz aux filles

 

Fred

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15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 20:05

 Quelle est la différence entre le Raid 28 et l'Orcéenne, hein ?

 

 

point-d-interrogation.jpg

 

Après une nième sortie à faire le yoyo dans le bois de la Guyonnerie, j'ai enfin trouvé la réponse (accessoirement, la question aussi) :

 

 

 

le balisage.

 

 

 

En hiver, place à l'équipe Turoom, transie de froid et particulièrement avare en matière de rubalise dispose  ses balises à des endroits franchement pas commodes, qu'on se demanderait presque s'ils ne le font pas un peu exprès. Accessoirement, ça fait la joie des bénévoles le lendemain pour retrouver tous les rectangles en tole :

 


 

76.JPG

 

 

(Question bonus : c'est quelle édition ?)

 

 

 

Au Printemps, le bois de la Guyonnerie se tranforme en vaste arbre de Noël avec ses farandoles de rubalise pour permettre sans doute à des mal voyants de participer en gardant la main courante tout au long de la course. Et comme chaque année, le débalisage n'est que très partiellement réalisé.

2013 bats de tristes records comme en témoigne la photo ci-joint avec ce que j'ai collecté sur mon parcours de retour. Ce n'est qu'une partie de mon butin, le reste ayant été déposé dans les poubelles de la Fac, il parait que ça sert à ça.

Il y avait tellement de rubalise Mercredi dernier que j'ai eu un doute affreux : n'étais-je pas en train de débaliser une épreuve qui allait se dérouler ? Mais non, fidèle à sa mauvaise habitude le comité d'organisation a arrêté la logistique à la remise des trophées.

Ben désolé les gars, mais ça suffit pas et franchement j'en ai ras le bol de passer derrière vous chaque année. Idem pour les agités de la bombe de peinture, pas la peine d'en mettre partout, j'imagine mal quelqu'un se perdant sur le parcours.

 

photo.JPG

 

 

Voilà pour le coup de gueule.

 

Fred.

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 22:28

pa_rer_b.png

 

L'esprit encore rempli de l'émotion de la Course du Coeur de fin Mars, je n'ai repris la course que du bout de la chaussure de running. J'ai aussi fait quelques infidélités à mon vélo et me voilà presque chaque matin dans le RER B.

Ben j'aime pas. Alors je l'écris, tant pis.

 

Fred.

 

S’il m’arrive d’être en retard au boulot, je constate depuis plusieurs mois que l’excuse « je suis désolé, je prends le RER B » fonctionne au-delà de mes espérances. Plein d’empathie, mon auditoire me retourne immanquablement une mine accablée et plus compatissante que si j’étais victime d’une maladie grave.

En fait c’est bien une maladie grave: il faut du courage au quotidien, c’est douloureux, il y quelques rares périodes de rémission qui redonnent de l’espoir, et c’est apparemment incurable.

Accessoirement ça concerne des milliers de personnes, mais tout le monde s’en fiche. Après Solidays et le Téléthon, il faudrait lancer une journée de solidarité pour les usagers.


Prendre le RER B. De lassitude, certains le prennent de plein fouet pour abréger leur souffrance et augmentent sadiquement la durée du chemin de croix de leur coreligionnaires.

Pour ces derniers, prendre le train est un défi quotidien. On calcule chaque matin : sachant que je ne dois absolument pas arriver après telle heure, le RER théorique passe à xxx, donc je vais prendre 2 RER de marge, voire 3 si c’est vraiment important.

Fort de ce calcul, j’ai personnellement 12 minutes pour faire mon trajet à pied et rejoindre le quai. Me voilà donc sur le départ 15 minutes avant l’horaire cible, progressant sans stress vers le RER promis. Chemin faisant, comment s’empêcher de gamberger : et si le RER est en retard (pléonasme ?), je vais voir passer juste sous mon nez celui d’avant et devrai attendre sur le quai, grignotant bêtement la marge que j’avais constituée au prix d’un réveil injustement anticipé. Le pas s’accélère imperceptiblement, je finis immanquablement en sueur.

 

Après avoir validé mon pass Navigo sur une borne non HS (remarquez que la RATP dispose d’autocollants officiels pour indiquer qu’un équipement est HS, du moins à Paris, en banlieue ça reste artisanal), je jette un regard fiévreux sur le panneau d’affichage qui dans ses bons jours délivre 3 informations (sinon il indique sobrement qu’il est HS) :

  •  Les petits points blancs des stations desservies. Si c’est tout blanc, bordel garanti sur toute la ligne, on va s’arrêter partout et se compresser à mesure qu’on se rapprochera de Paris. Les plus optimistes n’imaginent pas un seul instant y faire la rencontre de leur vie, on va se tirer la gueule à qui mieux-mieux.


  •  Les infos complémentaires en bas de panneau, qui justifient tous les désagréments à venir : travaux, trafic réduit, incident en tout genre  expliquant en gros qu’on l’a une nouvelle fois dans le fion , avec toutes les variantes dont la RATP, très créative, est capable.


  •  Le temps en minutes avant l’arrivée du prochain train.


Cette dernière information, au demeurant si simple, mérite commentaires. Quand on en veut à la Terre entière en général, à la RATP en particulier, le décompte des minutes est singulièrement long. Surtout si on voit passer 2 voire 3 rames dans l’autre sens. Ils en font quoi des trains à St Rémy ?  Prenez un chronomètre, vous constaterez que même quand tout va bien ce compte à rebours est des plus farfelus. On saute certaines minutes, d’autres durent … plusieurs minutes, certaines sont tellement longues qu’elles débouchent sur The fatidique message « TRAIN RETARDE ». Dans le cas particulier de la Hacquinière, il ne faut pas être dupe : tant que le temps d’attente est supérieur à 7 minutes, cela signifie simplement que le train n’est pas encore parti. D’ailleurs les minutes s’égrainent à peu près normalement jusqu’à 7, forcément puisque ça n’engage encore à rien. Le décompte des minutes est donc bidon, il faut croiser les doigts quand on arrive au fatidique chiffre « 7 » qui restera affiché jusqu’à ce que la conjoncture des astres soit favorable. Alors ce fichu RER daignera enfin partir, ayant affronté les feuilles mouillées ou le gel ou un démarreur récalcitrant ou autre et accessoirement trouvé un conducteur volontaire. Quand ce n’est pas le passage aux horaires d’été, qui tout comme celui du retour à l’hiver, provoque le mécontentement d’une certaine catégorie de personnels, au détriment de tous les autres.

A ce propos, je suis disponible pour une interview un jour de grève, je suis toujours étonné du ton compréhensif des badauds devant la caméra, les reporters ont le chic pour tomber sur des voyageurs exceptionnellement zens, chapeau. Mon interprétation est que les quais sont tellement bondés qu’ils sont inaccessibles à tout l’attirail journalistique, donc  que les joyeux sondés ne sont simplement pas en train de poireauter. C’est mieux pour pouvoir prendre du recul. Interview  devant le musée d’Orsay plutôt qu’à la gare éponyme en quelque sorte.


Bref, on attend faute de mieux. N’allez pas croire que les trop nombreux retards permettent de remettre les rames propres, vous seriez  déçus. Les canettes roulent sous les pieds, ce qui sert peut être de prétexte aux d’jeunes pour mettre les pieds sur les sièges. Le trafic allégé ne fluidifie pas non plus le trafic ; pas de train pendant 20 minutes et pourtant le mien trouve le moyen de s’arrêter entre chaque gare. Les taggers de tout poil y vont de leur déprimante bombe de peinture quand ce ne sont pas les gravures au cutter.

L’hiver dernier la RATP  leur a donné un sacré coup de main. Après avoir bitumé le quai pourtant quasiment neuf de la Hacquinière, avec accessoirement un superbe creux qui se transforme régulièrement en belle flaque stagnante et fait le malheur des clients distraits, la RATP a facilité l’accès des malvoyants en recouvrant  le bord du quai de dalles en relief, histoire que seul  les aveugles qui le voulaient vraiment se jettent sous le train (challenge ambitieux, car des trains, il n’y en a pas tant que ça, ça fait deux pages que je le répète). Super utile certes, mais super glissant aussi, contribuant à allonger la liste des plâtrés. Et platré, le RER ça devient mission impossible : où mettre les béquilles, comment se faufiler en les plantant ailleurs que sur des pieds, si possible sur une zone sêche. Quelques fémurs plus tard, ces abords ont été peints en blanc à l’heure d’affluence et nous avons donc salopé de blanc des trains qui n’en n’avaient vraiment pas besoin. Problème maintenant réglé, mais dans un souci de préservation des tibias méfiez-vous quand même des marchepieds qui ne sont pas toujours à la bonne hauteur.


La Hacquinière, Bures, Orsay, le conducteur connait son boulot, c’est rare que ça parte en vrille. Mais dès Orsay, tout peut se gâter. En théorie, on a droit à un saut quantique qui nous mène 7km plus loin sans arrêt, à Massy.

Au moindre décalage constaté sur la ligne devant nous, on perd ce créneau direct et on se retrouve avec un omnibus qui, asthmatique, dessert 4 stations de plus et leur lot de voyageurs mécontents d’être prématurément congestionnés.

On part alors souvent dans le grand délire des annonces d’une voix lobotomisée qui nous informe que le train marquera exceptionnellement un arrêt dans les gares de x, y, z, ce qui est parfois en contradiction avec les panneaux d’affichage et/ou ce que le conducteur a envie de dire. Evidemment, on aura droit au même message à chaque arrêt non programmé. Cela interdit toute somnolence pour les heureux élus assis. Il arrive aussi qu’une station initialement desservie ne le soit plus. C’est marrant, sauf quand c’est Gentilly.


Ensuite plus on se rapproche de Paris, plus c’est aléatoire avec la somme des problèmes qui ont pu se produire, il devient exceptionnel que son train arrive à l’heure et en s’arrêtant aux seules stations prévues initialement. On devrait pouvoir parier en ligne. On se serre un peu, on se serre beaucoup, on se sert jusqu’à la folie. Les annonces du conducteur indiquant qu’un autre train arrive juste derrière n’y font rien, personne n’y croit ou n’y prête attention et dans les effluves d’eau de Cologne, de sueur, café, aisselles, avec plus ou moins de lumière dans le train, des hauts parleurs qui grésillent, des téléphones portables qui dévoilent la vie plus ou moins intime des voisins d’infortune, et jusqu’à l’autre bout du wagon pour les plus partageurs, GO GO GO au boulot.


Mi-Février j’ai même expérimenté le RER qui rebrousse chemin. 20 minutes d’arrêt juste avant Denfert (ils ont dû faire une faute d’orthographe), 3 RER nous doublent avant qu’on nous annonce qu’un passager est malade à Denfert et qu’on ne pourra pas continuer. Retour à Cité U, tout le monde descend… Sérieusement, on se fout de nous : les trains qui nous ont doublé se sont volatilisés ? Reprenant le métro en fin de matinée, ce même bobard était encore servi station Place d’Italie.

 

On est maintenant vraiment de mauvaise humeur, on turbine joyeusement jusqu’à … devoir faire le chemin inverse. La journée de boulot sert bien souvent à récupérer des forces suite aux mauvaises conditions de transport. Le soir c’est le conjoint ou les enfants qui serviront d’exutoire.


Nous voilà donc le soir. L’ambiance a bien changé : chacun est maintenant parfaitement réveillé, et autrement motivé pour regagner ses pénates. Les novices en arrivant sur le quai consultent les panneaux et calculent quel train prendre pour arriver directement chez eux. Les banlieusards aguerris montent dans le premier RER. Allons hardis plein Sud !  Rapprochons nous et on verra bien la suite, fouette cocher. Car là encore on n’est sûr de rien. 

 

3 RER annoncés consécutivement pour Robinson, je fais quoi si je vais pas à Robinson ? Faut atteindre successivement Bourg la Reine et faire le pied de grue Quai 1 : là, on est sûr d’aller vers St Rémy, mais on ne sait pas jusqu’où. C’est la surprise en général à Massy : terminus, Orsay ou St Rémy, zatiz ze question… Pas possible de se fier à l’affichage, parfois en contradiction avec les annonces du conducteur, voire des hauts parleurs du quai.

Alors on monte dans le train à Massy, on reste près de la porte en attendant que le conducteur indique ce qu’il veut faire. Manque de bol, il arrive que les enceintes du wagon soient HS, dans ce cas-là, si c’est un très mauvais jour vous pouvez vous retrouver au dépôt.


On peut aussi remarquer depuis peu un nouvel affichage. En plus de vous indiquer dans combien de temps votre train va arriver, ce que personne ne croit plus, la RATP vous indique où est ce train. « Entre Luxembourg et Port Royal ». Belle attention, à croire que la RATP est tellement peu sûre de ses horaires qu’elle essaie de nous montrer qu’elle maîtrise la situation en nous prouvant que les trains existent bien et qu’elle sait exactement où ils sont. Mais honnêtement, je me fous pas mal de savoir où est le train, j’aimerais juste qu’on me garantisse qu’aux heures de pointe j’en aurai un toutes les 12 minutes qui s’arrête chez moi, en contrepartie de quoi je m’acquitte d’un abonnement annuel et de quelques menus impôts.

 

Une proposition toute simple : le Ministre des Transports devrait habiter St Rémy ainsi que le Directeur de la RATP et venir bosser tous les jours en RER. Dans la même logique, le Secrétaire d’Etat au tourisme habiterait à Roissy, histoire qu’il se rende compte quotidiennement de la première impression que la France offre aux touristes étrangers.


La recette de l’aller vous ayant plu, la même voix de gonzesse débile vous annonce que nous allons marquer un arrêt supplémentaire là et là, ce qu’elle peut ensuite compléter juste après et toujours très cohérente par deux nouveaux arrêts impromptus. Quelques minutes plus tôt on vous a expliqué dans plein de langues  que pour vous barrer définitivement et vous envoyer en l’air il fallait descendre à Antony pour gagner l’aéroport d’Orly. Si c’était un jour à rester coucher, on vous signalera aimablement et judicieusement que le train est arrêté en pleines voies (on se rassure, il est précisé « momentanément ») et qu’il ne faut pas descendre sur les voies, histoire qu’il ne vienne pas l’idée saugrenue à des apprentis randonneurs de faire de la concurrence déloyale à la èratépé.


Bizarrement, l'arrivée à destination est  vécue comme une délivrance, sans trop de forces pour être vraiment vindicatif. Je patiente pour récupérer la 3G et consulte la météo du lendemain. Pourvu qu’elle me permette de prendre mon vélo, pour dépasser en 2013 le cap des 3000km parcourus…


Lundi 15 Avril, 7h40 le RER est à l'heure. Il s'arrête dans les stations prévues mais nulle part ailleurs. Une situation qui a un gout désabusé d'exception. Dommage. 

 

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23 décembre 2012 7 23 /12 /décembre /2012 19:21

Chères JDMiennes, chers JDMiens,

 

Nous avons surmonté la fin du monde, l'hyper-Prez, résistons à l'Hypo-Prez et attendons de pied ferme le réchauffement climatique et autres contrariétés. Bravo.

 

Signe de ce réchauffement généralisé, la sortie en tenue assez light de l'équipe "Ultra JDM" dans le cadre de sa préparation pour vous savez quoi. Les sources de l'Yvette seront bientôt un bain bouillonnant et la statue fait bien d'être assez dénudée.

 

Souce-Yvette.jpg

 

Notre équipe est au point, au fil des années nous avons relevé tous les poinçons des balises du Raid ce qui nous permettra de ne pas trainer en chemin à la recherche d'improbables balises. Partant du principe que nous les avons d'ores et déjà toutes poinçonnées, nous avons donc peaufiné la vitesse. A 12km/h de moyenne, l'affaire sera bouclée en 10h. Nous pensons donc festoyer et dormir à l'Abbaye des Vaux de Cernay avant de manger un couscous chez Shéhérazade Dimanche midi. Nous prévoyons donc d'arriver vers 15h.

 

D'ici là, bonnes fêtes à tous.

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 21:47

Fatigué, usé, cassé, disloqué, déboité, fracturé, mouillé, rapé, transi, avachi, épuisé, courbaturé, éreinté, claqué, échiné, ...
Le JDM a la solution et vous remet à neuf...

 
Gilles

 

JDM-retouches.jpg

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 22:18

interro.jpg

 

Bien que je ne sois pas à jour de ma cotisation JDM, je suis assidue aux sorties dominicales.

Petite, rondouillarde, pour le moins collante, j'apprécie la compagnie des coureurs de tout poil. Ne comptez pas sur moi pour alimenter la conversation, mais même discrète on me trouve irritante.


Docteur Gilles propose ici de me mettre sous le feu des projecteurs, cliquez pour partager mon intimité

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 22:26

A l'image de certaines élections dans certains pays, me voilà contraint d'utiliser un vocabulaire quelque peu raccoleur pour espérer créer un peu d'audience sur notre blog dont la fréquentation connait la même baisse que certains candidats se présentant aux élections de certains pays.

 

Heureusement grâce à la veille active de JF, voilà un moyen inespéré de se remobiliser au sujet d'une cause inutile, donc importante. Les propos qui suivent sont sous son entière responsabilité, je plaiderai un moment de faiblesse et un harcèlement incessant de Raid-vintuiteries en cas de procès.

 

N'oubliez pas qu'il faudra fournir un justificatif en cas d'absence Diamche autour du bassin

 

En 2009, les organisateurs de la belle épreuve et grande épreuve de 20 ans d’âge des « Templiers » à Nant, ont vu le nom et le concept de leur course « emprunté » (un mot qui sonnerait négativement pourrait entraîner une action en justice) par une organisation voisine parce que les gens de Nant n’avaient pas « déposé » le nom (la marque) et le concept de leur épreuve.  

  

En 2012, la même mésaventure, heureusement sans aucune conséquence, cette fois,  arrive au JDM. Le nom de sa course annuelle des Coteaux de 20 ans d’âge aussi, a été pris par une obscure organisation municipale du pays du nouveau président (Voutezac, Corrèze). Voir le document là. Je propose de laver l’affront en allant en masse courir cette épreuve en 2013.

 

Qu’est-ce qu’on fait pour les 12 h de Bures ? Il y a au moins 2 autres Bures en France.        

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 21:14

Chers JDMeuses, chers JDMeurs,

Le bilan 2011 du blog est d'environ 5665 visiteurs uniques et à peu près 14071 pages vues. Pas besoin de vous faire un dessin (ou une BD) pour les contributeurs, ça se résume à peu qui publient beaucoup, ces colonnes sont les votres et je formule le voeu que plus de monde se les ré-approprient.

 

normal nouvel-an-03

 

Bon, la fréquentation augmente, les impôts aussi de même que la température moyenne, le prix du fuel, l'auto-satisfaction de nos z'hommes politiques préférés. Pour le PIB, on verra plus tard, mais finalement plutôt que de focaliser notre attention sur ce seul indicateur qui va finir par faire imploser la planète, le JDM peut contribuer à augmenter le bien-être de ses membres en :

- augmentant le nombre de kilomètres parcourus ensemble,

- établissant le record du tour sur le bassin de retenue (homme, femme, v1, v2 etc...), je lance le premier temps de référence de Samedi : 10'50. Il y a fort à parier que la barre des 10' explose bien vite.

-augmentant le nombre de fèves par galette.

-développant les commenaires sur le blog.

etc...

Bon, on s'éloigne un peu de la course à pied, mais je m'en fous c'est moi qui ai le mot de passe du blog.

 

Bonne année à tous

 

Yo

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 18:14

Peu de monde aujourd'hui pour la sortie dominicale : 3 coureurs au marché à 9h attendant les retardataires des Hauts de Bures qui n'arriveront jamais.

La faute à Paris Versaille, des Virades de l'espoir, des 17km de Villebon, de l'Estran, des 100km de Millau, de la CO proposée par Damodile ?...

Et si sous ce motif politiquement correct se cachait une raison plus grave : une épidémie insolite touchant les membres du JDM et dont la première victime fut Robert :

 

robert.jpg

 

Le mal s'est propagé en Août avec de nouvelles victimes innocentes :

 

penche.JPG

 

Le JDM est victime de la PENCHETTE. Bonne ou mauvaise nouvelle, à vous de juger, il semblerait qu'il penche plutôt à gauche.

 

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